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L’accord entre la Chine et le Saint-Siège à la lumière du Concordat

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ROSARY,CHINA,POPE FRANCIS

Des pèlerins chinois au Vatican.

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Père Yann Le Bras - publié le 02/06/23
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Le père Yann Le Bras a reçu le 25 mai le prix de Lubac 2023 pour sa thèse sur "La démission et la révocation par le Pape des évêques français à l’occasion du concordat de 1801". Pour Aleteia, il compare le concordat et le traité conclu par le Saint-Siège avec le gouvernement chinois en 2018. Dans les deux cas, malgré une méfiance réciproque, l’Église avait intérêt à conclure un accord, sans céder sur le dogme, tout comme la France et la Chine. Dans les deux cas, des forces en présence avaient aussi intérêt à torpiller les traités.

Lorsqu’il ratifie en 1801 le Concordat entre le Saint-Siège et la France, le pape Pie VII est applaudi par les uns et critiqué par les autres, au sein même de l’Église. Bonaparte est lui aussi critiqué dans son camp. Ainsi, le général Moreau, chef de l’armée du Rhin, refuse-t-il de se rendre à Notre-Dame pour la célébration de la paix religieuse. Pour beaucoup, un accord entre le Saint-Siège et la France républicaine n’est pas envisageable. Le raisonnement de Pie VII et celui de Bonaparte sont différents. 

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