Sur sa page Facebook, l’archevêché des Grecs catholiques à Beyrouth a publié le 23 févier la vidéo d’un chant byzantin magnifiquement interprété.
Pourquoi ne pas vivre le carême avec des chants interprétés par nos frères chrétiens d’Orient ? Sur sa page Facebook, l’archevêché des Grecs catholiques à Beyrouth a publié le 23 févier la vidéo d’un chant byzantin interprété dans l’église Saint-Jean Chrysostome de Beyrouth (Liban). Cinq hommes interprètent a capella un chant liturgique qui dit ceci : “Ô Seigneur des forces, sois avec nous, car nous n’avons que toi dans la détresse”. Des paroles pleines de sens qui disent l’essentiel du message du temps de carême : il est l’heure de se tourner vers Dieu qui nous accompagne dans les heures sombres de notre vie.
https://www.facebook.com/Chrysostome.LB/videos/183991453127395
Le chant byzantin est né dès les premiers siècles du christianisme. Utilisé par l’Église orthodoxe, il s’est transmis jusqu’à aujourd’hui. Exclusivement vocal, il accompagne les textes liturgiques. En 2019, il a été inscrit sur la Liste du patrimoine immatériel de l’Unesco. “Chanter, c’est respirer ensemble, unir un même souffle créateur, chercher l’accord sans faire passer sa voix au-dessus de celle des autres”, notait en 2019 auprès d’Aleteia le père Emmanuel Goulard, recteur du séminaire catholique Saint-Sulpice d’Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). “C’est mettre son corps au service de la prière, il y a quelque chose du poids de l’incarnation qui cherche à s’élever vers Dieu”.
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