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Voilà une étude dont les conclusions sont enthousiasmantes. Dans cette étude, des chercheurs suisses ont tout d’abord réparti au hasard 25 personnes dans un groupe expérimental et 25 autres dans un groupe témoin. Ils ont ensuite informé les participants qu’ils allaient recevoir chacun 25 francs suisses (environ 25 euros) par semaine pendant un mois. Les personnes du groupe expérimental ont dû s’engager à dépenser cet argent au profit d’autres personnes de leur choix (cadeaux, invitations à dîner), tandis que les personnes du groupe témoin ont dû s’engager à dépenser leur argent pour elles-mêmes. Les participants ont ensuite été soumis à divers tests au cours desquels ils devaient décider s'ils allaient se comporter de manière plus ou moins altruiste. Pendant ce temps, les scientifiques mesuraient leur activité cérébrale dans trois zones spécifiques du cerveau, à l’aide de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMF). La première zone, la jonction temporo-pariétale (TPJ), a trait à la générosité, la seconde, le striatum ventral, est associée au sentiment de bonheur, et la troisième à l'évaluation du pour et du contre au moment de la prise de décision.
"La simple intention de générosité provoque une modification neuronale"
La mesure de l'activité cérébrale a mis en évidence le fait que la simple promesse de se comporter généreusement active la zone altruiste dans le cerveau et renforce la communication avec celle du bonheur. Avant même que le don ne soit effectué, le groupe qui s’était engagé à faire profiter les autres de leur argent a déclaré un niveau de bonheur plus élevé et s’est montré plus généreux dans la phase de tests. "Il est remarquable que la simple intention génère une modification neuronale, avant même qu'elle ne soit mise en pratique", commente Philippe Tobler, professeur associé en neuroéconomie et neurosciences sociales à l'Université de Zurich. Donner à Aleteia, pour participer à son œuvre d'évangélisation, c'est donc - scientifiquement - choisir la joie !
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