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Et les cimetières, c’est pour les chiens?

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CIMETIÈRE DES CHIENS ASNIERES

Dans le cimetière des Chiens Cimetière, à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine)

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Henri Quantin - publié le 02/02/22
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Que penser de l'idolâtrie dont font l’objet les animaux, y compris dans les cimetières, quand des pauvres meurent dans les « abattoirs de la misère » ? L’écrivain Henri Quantin suggère de relire Léon Bloy pour remettre de l’ordre dans l’amour, et des hommes et des bêtes.

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« Les chiens et les chats prennent la place des enfants. » Tugdual Derville a récemment commenté dans Aleteia les mots prononcés par le pape François le 5 janvier, en rappelant judicieusement qu’un juste rapport aux animaux s’oppose à deux attitudes extrêmes : la cruauté gratuite, les dépenses inconsidérées. Contre cette seconde tendance, il citait le Catéchisme de l’Église catholique : « Il est également indigne de dépenser pour eux des sommes qui devraient en priorité soulager la misère des hommes. On peut aimer les animaux ; on ne saurait détourner vers eux l’affection due aux seules personnes » (CEC, 2418). Cela vaut aussi devant des cadavres, dont le traitement révèle ultimement l’idée qu’on se fait de la dignité humaine. 

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