La cathédrale de Notre-Dame de Paris panse ses plaies. Depuis l’incendie du 15 avril, les ouvriers travaillent d’arrache-pied sur l’édifice pour consolider le bâtiment.
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Le drame du 15 avril a déclenché une course contre la montre. Aujourd’hui, quelque 150 ouvriers s’activent chaque jour sur l’édifice pour le sécuriser. Objectif ? Être en mesure d’engager au plus vite un diagnostic complet de l’état du sanctuaire afin d’envisager sa restauration. Si la menace de le voir s’écrouler ne semble plus d’actualité, elle n’est pas encore totalement écartée.
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D’ores et déjà, architectes et corps de métier auscultent la vieille dame méticuleusement. Pignons, arcs-boutants, vitraux, statutaires… chaque pierre, chaque élément constitutif de la cathédrale est analysé, parfois au moyen de capteurs, pour évaluer si le monument bouge et si les pierres n’ont pas trop souffert des flammes. Si pour le moment Notre-Dame ne bouge pas, son visage change pourtant quotidiennement en raison des travaux. Découvrez en images comment Notre-Dame de Paris panse ses plaies.
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