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Classement des lycées : l’enseignement libre tire son épingle du jeu

Des élèves font la queue dans une cour le 4 septembre 2012 au lycée Guist'hau à Nantes, dans l'ouest de la France, avant le début de la nouvelle année scolaire.
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La rédaction d'Aleteia - publié le 20/03/19
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Les indicateurs de résultats des lycées ont été diffusés ce mercredi par l’Éducation nationale et moulinés par de nombreux médias. Il ressort de ces nombreux classements que les établissements de l’enseignement libre sortent souvent du lot.

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Depuis 25 ans, le ministère de l’Éducation nationale publie ses IVAL, ou “indicateurs de lycées”. Ce jeu de données est tellement attendu qu’il est devenu au fil des ans un marronnier de la presse. De nombreux magazines et quotidiens publient leurs propres “classement des lycées”. Avec sa série d’indicateurs, l’Éducation nationale prend ainsi le pouls des quelque 4.300 lycées du territoire, permettant ainsi “d’évaluer l’action propre de chaque lycée en prenant en compte la réussite des élèves au baccalauréat et leur parcours scolaire dans l’établissement”. À partir du jeu de données 2018 rendu public ce 20 mars, de nombreux médias ont donc concocté leur propres palmarès, récompensant non seulement les résultats obtenus par les élèves, mais également la capacité des établissements à accompagner leurs jeunes et à les aider à progresser.


JEAN-MICHEL BLANQUER
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Au-delà de la compétence et de la performance, l’accompagnement mis en œuvre par l’établissement compte. “Les meilleurs lycées ne sont pas forcément ceux où le taux de réussite au bac est le plus haut”, note Le Huffington, sans quoi “on passerait à côté de l’essentiel”. Le journal propose deux classements, le premier concernant les lycées publics, le second les lycées privés.

Le “supplément d’âme” compte

Mais force est de constater que quelle que soit la formule imaginée pour classer les lycées, les établissements de l’enseignement libre figurent régulièrement en bonne place. Ainsi, L’Express cite Franklin, “le grand lycée jésuite du XVIe arrondissement de Paris”. En Île-de-France, les lycées catholiques comme le Sacré-Cœur (Essonne) ou Saint-Benoît de l’Europe (Seine-Saint-Denis) arrivent dans le top 10 du journal Le Parisien. De son côté, Le Figaro étudiant met à l’honneur au niveau national des lycées parisiens de prestige comme Stanislas et Saint-Jean-de-Passy. Les médias locaux n’échappent pas à la tendance du classement. Et là encore, l’enseignement libre tire son épingle du jeu de façon systématique. Ainsi France 3 Bourgogne Franche-Comté classe l’Institution Notre-Dame Saint-Jean de Besançon parmi les trois meilleurs lycées de la région. Avec sa propre méthodologie, L’Internaute place quatre lycées privés dans les cinq meilleurs pour la seule ville de Rennes. Des résultats encourageants pour l’enseignement catholique qui a à cœur d’aider ses élèves à s’épanouir en s’appuyant sur l’anthropologie chrétienne.


CLASSROMM STUDENTS
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