Des médias, sous couvert de ré-information, sont devenus champions dans la diffusion de nouvelles négatives. Et pourtant les informations qui réjouissent existent. Loin de cacher les maux qui nous entourent, rapporter une bonne nouvelle permet de méditer sur la France qui tient, qui œuvre et qui monte. Aujourd’hui une conséquence directe de l’éventuel Brexit sur les ports Français.
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Les routes maritimes reliant l’Irlande au continent européen sont, comme toutes les autres, soigneusement balisées. On parle de corridors maritimes. Le prochain retrait du Royaume-Uni hors de l’Union européenne a nécessité de redéfinir ces corridors. Jusqu’à présent, nombre de liaisons entre l’Irlande et le continent passaient par le Royaume-Uni. Les liaisons maritimes directes sont donc appelées à augmenter en volume de trafic avec la sortie de l’UE de ce tronçon terrestre.
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Mais plusieurs ports français n’étaient pas inclus dans ces futures lignes directes. Après un intense travail du Parlement, du gouvernement et notamment du ministère des affaires étrangères et européennes, la France a obtenu gain de cause. La commission européenne et le parlement de Strasbourg ont validé l’intégration aux corridors maritimes des ports de Calais, Dunkerque, Boulogne, Le Havre, Rouen, Paris, Caen, Cherbourg, Saint-Malo, Roscoff, Brest et Saint-Nazaire. Outre un apport en trafic maritime, ces ports devraient ainsi également bénéficier de subventions européennes post-Brexit pour accompagner la transition économique vers une structure dont le Royaume-Uni sera désormais absent.
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