Pierre-Édouard Stérin est le serial entrepreneur qui se cache derrière les succès de Smartbox et La Fourchette. À la tête du fond d’investissement Otium Capital, il a récemment confié que son ambition était de « devenir saint ».
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Si son nom ne vous dit rien, les entreprises qu’il a fondées ou développées vont certainement vous évoquer quelque chose. Que ce soit Smartbox ou La Fourchette, le même homme se cache derrière : Pierre-Édouard Stérin. Alors que le dernier classement AngelSquare-Challenges l’a classé premier business angel français — il est à la tête du fond d’investissement Otium Capital — devant Xavier Niel, ce serial entrepreneur a confié que son rêve n’était autre que… de « devenir saint ».
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« Ma seule ambition dans la vie est de devenir saint », a-t-il confié dans un entretien au magazine Entreprendre. « Cela paraît bizarre à certains. Mais chaque matin, il est fondamental pour moi de me dire que mon ambition dans la vie est de faire en sorte que ce très court passage sur Terre puisse me permettre d’optimiser mes chances une fois là-haut de basculer du bon côté ». « Le chemin de sainteté est complexe, j’en suis encore loin, mais c’est un driver au quotidien », résume ainsi Pierre-Édouard Stérin.
Il reconnaît volontiers faire cohabiter assez facilement son côté entrepreneur et sa foi. « Mon passage sur Terre doit permettre d’aider au bien commun », explique-t-il. C’est dans cette optique de faire rimer ses paroles avec ses actes que Pierre-Édouard Stérin a co-fondé la Nuit du Bien Commun, dont la deuxième édition aura lieu ce 12 novembre au théâtre Mogador, à Paris : « Chacun à son niveau doit apporter sa pierre. Les personnels hospitaliers qui aident les malades, les mères de famille ou les entrepreneurs cherchent tous à aider la société à leur niveau », souligne-t-il.
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