Pour de nombreux fidèles, la vie des religieux cloîtrés reste un grand mystère. Dans cette prédication, le père René-Luc, fondateur avec Mgr Carré de CapMissio, l’école d’évangélisation diocésaine de Montpellier, nous permet d’en découvrir le sens.
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La question brûle les lèvres de bon nombre de perplexes : quel est le sens de la vie des religieuses cloîtrées dans leurs couvents ? Elles prient, cuisinent des confitures et fabriquent des chapelets… Mais encore ? Pourquoi, à l’instar de Mère Teresa ou de Sœur Emmanuelle, ne quittent-elles pas leurs enceintes afin de se mettre au service des plus démunis à travers des soupes populaires ou des maraudes nocturnes ?
Dans cette vidéo, le père René-Luc nous en donne l’explication. La vie consacrée peut prendre une multitude de formes. Le monde a besoin de quelques âmes particulières qui le portent avec “l’unique vocation de la prière”.
Sans eux, l’Église est en grand danger
Même si le travail tient une place dans leurs journées, la prière est l’essentiel de leurs vies. Évoquant les familles carmélite, bénédictine, cistercienne, il cite le chapitre 17 du livre de l’Exode dans lequel Moïse permet au peuple d’Israël d’être victorieux des Amalécites en gardant les bras levés jusqu’au coucher du soleil. Il explique que “si nous voulons vaincre les combats de nos vies […], nous avons besoin d’avoir des hommes et des femmes cloîtrés qui passent leur temps à lever les bras vers le Seigneur”. Et le prédicateur de conclure que sans eux, “l’Église sera exposée à un grand danger”.
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