separateurCreated with Sketch.

Le patron de Facebook présente ses excuses pour avoir censuré un crucifix

whatsappfacebooktwitter-xemailnative
La rédaction d'Aleteia - published on 12/04/18
whatsappfacebooktwitter-xemailnative

Mark Zuckerberg a présenté ses excuses ce 11 avril pour la censure exercée par Facebook lors de la Semaine sainte. Fin mars, le réseau social avait supprimé le post d’une université catholique américaine présentant un Christ en croix.Auditionné devant deux commissions du Congrès américain à la suite du scandale provoqué par la fuite de millions de données d’utilisateurs du réseau social, Mark Zuckerberg en a profité pour présenter ses excuses concernant la censure exercée par Facebook fin mars. Il a admis que son entreprise avait « fait une erreur ».

En effet, le réseau social avec supprimé une annonce de programme de cours illustrée par le Christ de Saint-Damien, postée sur la page de l’Université franciscaine de Steubenville, dans l’État américain de l’Ohio. Cette image avait été jugée “perturbante” et “excessivement violente” par les administrateurs du réseau.


PIETA
Read more:
L’iconographie chrétienne bientôt censurée par Facebook ?

Le patron de Facebook s’est justifié en mettant en avant l’immense masse de données que les administrateurs du réseau doivent traiter. « Je n’extrapolerais pas sur quelques cas regrettables pour dire que le système entier est biaisé », a-t-il déclaré.

L'illustration de l'Université de Steubenville censurée par Facebook (capture d'écran Facebook)

(Capture d’écran Facebook)

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Vous aimez le contenu de Aleteia ?

Aidez-nous à couvrir les frais de production des articles que vous lisez, et soutenez la mission d’Aleteia !

Grâce à la déduction fiscale, vous pouvez soutenir le premier site internet catholique au monde tout en réduisant vos impôts. Profitez-en !

(avec déduction fiscale)
Newsletter
Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !