Label de la fondation Jérôme Lejeune, le site Genethique.org est un outil accessible à tous qui permet de s’informer, comprendre et approfondir les questions de bioéthique. Explications.
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Alors que les États généraux de la bioéthique ont débuté ce 18 janvier en vue d’une révision des lois de bioéthique, nombreux sont ceux qui, en lisant quelque chose sur la bioéthique, se disent : « ça me dépasse ». Mais quel débat peut-il y avoir sans compréhension des sujets à débattre ? Créé en 2000, Gènéthique, premier site d’actualité bioéthique francophone, a pour objectif de mettre ce débat à la portée de tous.
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« Gènéthique est né peu après la première loi de bioéthique. Jean-Marie Le Méné, président de la fondation Jérôme Lejeune, s’est rendu compte qu’il y avait très peu d’informations sur ces questions cruciales mais que le besoin d’informer était énorme », explique Marie-Anne Chéron, rédactrice en chef de Genethique.org. L’objectif de ce site : s’informer, comprendre et approfondir les questions de bioéthique.
Suivre (et comprendre) l’actualité bioéthique
Concrètement, Genethique.org propose différents contenus gratuits tels que des synthèses de presse quotidiennes pour suivre l’actualité bioéthique nationale et internationale, des articles intitulés « Gènéthique vous informe » afin d’approfondir une actualité ou informer en exclusivité, un « Coin des experts », pour décrypter les actualités complexes grâce à l’éclairage de spécialistes, un lexique de termes de bioéthique, une bibliographie d’ouvrages qui touchent aux thèmes abordés sur le site, un répertoire des textes législatifs nationaux et internationaux en vigueur ainsi qu’un agenda des principaux évènements et des rendez-vous médias qui alimentent l’actualité bioéthique.
Au total, quatorze grands thèmes de bioéthique sont répertoriés : la fin de vie, euthanasie, la PMA-GPA, le clonage, le génome, la loi de bioéthique, l’objection de conscience, le transhumanisme, le don d’organes, la recherche sur l’embryon et les alternatives (cellules souches adultes et iPS notamment), le diagnostic préimplantatoire, le diagnostic prénatal, l’IVG-IMG et les OGM. « Quand on sait les choses, on est capable de les dire… et de les défendre », souligne avec justesse Marie-Anne Chéron.
