L’Institut politique Léon Harmel (IPLH) est un établissement privé d’enseignement supérieur fondé en 2004. Inspiré par Jean Paul II, Jean Soubrier, son président et fondateur, veut alors créer une structure “pour accompagner des chrétiens engagés en politique”. Trois ans plus tard, il lance une formation aux problématiques liées à la bioéthique et à l’éthique du soin. Son but est de développer chez les étudiants le service des autres grâce à un enseignement social-chrétien.
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L’IPLH, qui délivre des diplômes universitaires Bac+5 (master) en éthique sociale (sciences politiques) ou en éthique biomédicale (bioéthique) est une école de l’engagement. Les formations sont dispensées en cours classiques ou à distance par un module de e-learning. La formation classique mobilise deux journées par mois tandis que la formation en ligne se fait au rythme des étudiants.
À qui s’adresse la formation à l’éthique sociale ?
À ceux qui souhaitent enrichir leur culture personnelle, connaître les clefs du fonctionnement d’ensemble de la société et les outils pratiques pour être efficace et avoir confiance en soi, à des porteurs de projets ou des personnes en réorientation professionnelle, aux futurs élus, aux responsables d’association.
À tous ceux qui souhaitent participer à la vie de leur commune, se rendre plus utile dans une association, un syndicat ou un parti ; prendre un nouveau départ ; mettre en œuvre une initiative originale ou prendre plus de responsabilités dans sa branche professionnelle.
La formation est ouverte à toute personne de niveau Bac+4 ou supérieur.
L’IPLH peut aider à optimiser un projet ou à suivre le chemin d’une reconversion professionnelle, il accompagne ceux qui souhaitent s’engager dans la vie de la cité.
En éthique sociale, les mémoires de fin d’études des étudiants sont pour la plupart consacrés aux partis politiques, aux associations, à la doctrine sociale de l’Église, à la place de l’autorité en entreprise…
Le programme
La première année est dédiée à l’anthropologie, la philosophie et la lecture des encycliques pour donner aux étudiants des bases fondamentales : le savoir et le savoir-être. Professeurs d’université professionnels, fonctionnaires, élus dispensent les cours (philosophie politique, droit, sciences sociales, économie en master d’éthique sociale).
La deuxième année est une boîte à outils, le savoir-faire est mis en avant. Les cours sont plus concrets, les intervenants sont des experts éprouvés. Ainsi, c’est Louis Daufresne, rédacteur en chef à Radio Notre-Dame, qui assure les modules de formation à la communication et aux interventions médias grâce à des mises en situation très concrètes.
Maxence Henry, adjoint au maire d’Angers, témoigne :
“J’ai laissé ma place à la direction de l’IRCOM pour mener à bien ma candidature aux législatives. Adjoint au maire d’Angers, la politique prend une place importante dans ma vie professionnelle. J’ai suivi le master éthique sociale à l’IPLH entre 2008 et 2010 pour me former aux sciences politiques en vue de mes engagements. Cette formation m’a permis de prendre le temps pour réfléchir à des sujets fondamentaux : la personne humaine, la philosophie politique. Aujourd’hui, il est plus nécessaire qu’hier d’avoir des valeurs intégrées et réfléchies, nous sommes dans un monde qui n’est pas tendre du tout, il faut avoir mûri tous ces éléments de valeurs. Prendre le temps de la réflexion fondamentale pour bâtir nos valeurs dans le monde : c’est ce que l’IPLH m’a permis de faire. Toute personne qui se pose la question de l’engagement politique, qui veut porter des valeurs humaines et anthropologiques peut se tourner vers l’IPLH”.
La politique de l’IPLH, c’est l’engagement de la personne à un bien commun, un engagement constructif dont la finalité est l’accomplissement de la personne humaine.
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Publi-rédactionnel