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Musique. Les 20 erreurs fatales dans une relation

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Alanna-Marie Boudreau - publié le 25/01/17
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Écoutons une déclaration d’amour par Alanna Marie Boudreau : elle met en musique une belle façon de présenter ses excuses, avec l’aide d’une douce mélodie. Aimer signifie pardonner, oublier et avoir le courage de reconnaître ses fautes. Cependant, face à certaines blessures, même la beauté et la voix de cette jeune artiste pourraient ne pas suffire à apaiser les cœurs. Il existe en effet certaines cassures pour lesquelles il est difficile de faire marche arrière. À ce propos, je me souviens des paroles d’un franciscain, le père John Marini. Dans un des cours qu’il donne à Assise depuis plus de 20 ans, il définit les « Germes de mort au sein du couple », c’est-à-dire les mécanismes qui peuvent conduire à la fin d’une relation, sans que nous en soyons conscients.

« Si je pouvais revenir en arrière d’un seul jour »

S’il n’est pas encore trop tard, relisons notre histoire à la lumière de ces tendances qui peuvent nous être fatales :

1. La relation bancale : Dans un couple, les deux partenaires doivent pouvoir être en équilibre l’un et l’autre. Souvent le « poids » psychologique de l’un des deux varie considérablement et vous devez combler cet écart.

2. La relation symbiotique : L’un des deux partenaires s’efface et laisse toute la place à l’autre, refusant de penser ou de prendre des décisions.

3. Le couple égoïste : Les deux partenaires s’éloignent de tout et de tous, coupant tout lien d’amitié extérieure.

4. La dépendance familiale : Un des partenaires n’a pas coupé le cordon ombilical avec sa famille. Il/Elle en dépend psychiquement et continue de répondre à toutes ses attentes. Son conjoint n’est aimé qu’à moitié.

5. Les relations sexuelles prématurées : Les deux partenaires ne sont pas chastes.

6. Communication difficile : Quand ils essaient de communiquer, les deux partenaires ne se comprennent pas. La relation devient lourde et étouffante.

7. Manque d’amour de soi : Celui qui ne s’aime pas, ne peut aimer l’autre. Mais personne ne peut s’aimer pleinement s’il n’est pas aidé à faire les choix qui sont bons pour lui. L’amour doit se développer de manière ordonnée : nous devons avant tout nous “enivrer” d’un amour reconnaissant, puis d’un amour généreux.

8. Père ou mère de substitution : Nous devons entretenir notre couple comme tel. Il ne faut pas vouloir être père ou mère de substitution pour la personne que vous désirez épouser.

9. Le syndrome de l’amour compliqué : Si l’on vient d’une famille difficile, on recherche très souvent des amours compliquées. C’est-à-dire des partenaires qui cherchent la dispute, qui jouent du drame affectif et qui affectionnent des situations passionnées.

10. Le refuge et la fuite dans l’imagination : Attitude immature qui, face aux difficultés et aux efforts que l’amour demande, consiste à rêver à une situation idéale où tout serait calme et où les efforts ne seraient pas nécessaires pour vivre heureux.

11. Le fantôme du passé : Quand on a vécu une longue et intense histoire d’amour, il n’est pas facile d’en ôter de son cœur toutes ses survivances. On lit la nouvelle histoire avec le filtre de l’ancienne, ce qui empêche une complicité profonde de se déployer. Avant de commencer une nouvelle histoire d’amour, guérissez votre cœur et votre mémoire des blessures du passé.

12. L’attitude infantile : Attitude d’une personne immature qui vit sa vie tel un enfant gâté et se met en colère si son partenaire ne voit pas les choses de la même façon.

13. Le zèle au travail : Une personne qui se focalise exclusivement sur son travail néglige son couple et n’investit pas suffisamment d’énergies pour y faire grandir l’amour. Le meilleur de lui-même est investi ailleurs.

14. La peur excessive de l’abandon : À cause d’un traumatisme ancien, l’un des partenaires exacerbe l’autre en le mettant en permanence à l’épreuve. Il a besoin de s’assurer qu’il ne va pas être abandonné.

15. Les mensonges déstabilisants : « Que votre amour soit sans hypocrisie » (Rm 12, 9).

16. La relation idolâtre : L’un des partenaires s’attend à ce que l’autre réponde à tous ses désirs, comme s’il était Dieu. Mais le couple doit se fonder sur le Seigneur.

17. Le silence d’omission : On cache à son partenaire des aspects importants de sa personnalité, marquée par des traumatismes et des blessures non résolues. On a peur d’accéder à un passé douloureux.

18. Les émotions fluctuantes : Une personne est d’humeur instable et n’arrive pas à entretenir des relations équilibrées.

19. La dramatisation : Un résidu d’adolescence qui consiste à emphatiser les situations, à dramatiser, et à user du chantage affectif.

20. Le provisoire : L’un des partenaires est incapable d’entretenir une relation stable et de prendre des décisions engageantes.

Le père Marini, qui aide des couples en difficulté depuis 40 ans, affirme qu’il suffit d’un seul de ces points pour endommager une relation dans son ensemble. Il faut cependant garder à l’esprit que nous avons exposé là un aperçu d’un discours plus long et plus complexe. Il est important de souligner la nécessité de grandir de notre expérience de la vie affective, parce que c’est dans la vie affective que l’homme joue le plein accomplissement de son existence.

« Apprendre à demander pardon est décisif. Savoir pourquoi nous demandons pardon est nécessaire. »

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