separateurCreated with Sketch.

Catholiques et orthodoxes : divergences ou convergences ?

25 janvier 2015 : Le pape François salue les représentants de confession chrétienne, lors de la célébration des secondes vêpres de la solennité de la Conversion du saint apôtre Paul en la basilique Saint-Paul-hors-les-Murs à Rome, Italie. January 25, 2015: Pope Francis greets the representatives of the various Christian confessions at the end of celebration of Second Vespers on the Feast of the Conversion of St. Paul the Apostle in the Basilica of St. Paul Outside the Walls in Rome, Italy.

whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Antoine Arjakovsky - publié le 30/01/16
whatsappfacebooktwitter-xemailnative

La prise de conscience des puissantes convergences de fond a permis de mettre en lumière la seule divergence qui persiste : celle de la gouvernance. La réalité historique du schisme s’est fixée pour des raisons politiques et il faut donc œuvrer pour retrouver la pleine communion.

Pour qu’Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l’avenir d’Aleteia deviendra aussi la vôtre.


Je donne en 3 clics

*don déductible de l’impôt sur le revenu

1. Les Églises catholiques et orthodoxes sont prêtes aujourd’hui, au plus haut niveau institutionnel, à retrouver la pleine communion. Malgré des résistances encore bien réelles, elles se considèrent déjà comme “Églises sœurs”.

2. La fausseté des raisons de la séparation entre catholiques et orthodoxes a largement été mise en lumière grâce aux travaux communs. La séparation est en effet bien plus politique, que théologique, et son caractère bloqué ne date que du XVIIe siècle et des suites de la Guerre de Trente ans.

3. Sur le tryptique de fond qui seul empêchait finalement une pleine communion dans la communion des Églises (procession de l’Esprit Saint, statut de la Vierge Marie et place de l’évêque de Rome), l’unique vraie question qui reste en suspens est la troisième : celle qui concerne la gouvernance de l’Église.

4. Pour avancer aujourd’hui, il faut passer de l’ecclésiologie confessionnelle à l’œcuménisme de la vie. Le Christ lui-même a donné des indications de gouvernance et l’exemple de Pierre, Jacques et Jean vient les concrétiser.

5. Pour réussir une pleine communion, il faut enfin redire la différence entre infaillibilité du message de l’Église sur la vérité et faillibilité historique des institutions. Fondamentalement, avec un message commun et une profession de foi commune, la voie de la réconciliation est possible.

Pour en savoir plus, c’est ici

Pour en savoir beaucoup plus, c’est là

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Aleteia vit grâce à vos dons

Permettez-nous de poursuivre notre mission de partage chrétien de l'information et de belles histoires en nous soutenant. 

Profitez de cette fin d'année pour bénéficier d'une déduction de 66% du montant de votre don sur l'impôt sur le revenu en 2024.

Newsletter
Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !