Pour qu'Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l'avenir d'Aleteia deviendra aussi la vôtre.
*don déductible de l'impôt sur le revenu
Chaque semaine pendant le Carême, les Œuvres pontificales missionnaires proposent un bref message pour fortifier notre fibre de « disciple missionnaire » du Christ.
Pour qu’Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l’avenir d’Aleteia deviendra aussi la vôtre.
*don déductible de l’impôt sur le revenu
Cette année, ces billets hebdomadaires viendront souligner la sève missionnaire qui jaillit du Notre Père. Ainsi, notre prière quotidienne se fera invitation plus pressante à devenir de fidèles disciples, c’est-à-dire des « disciples missionnaires ». Le Christ ouvre ce Notre Père, qu’il nous offre pour nous apprendre à prier, par ce nouveau et ultime nom de Dieu, « Père » qui émerveillait tant le saint curé d’Ars. Jésus, cependant ne nous invite pas à dire « Père » tout court, ni « mon Père » mais bien « notre Père »
Pourquoi donc ce pluriel ?
Pour que je n’imagine pas pouvoir dire en toute vérité « Père » à Dieu, sans ardemment désirer que tous puissent le dire avec moi, sans clairement discerner que tous sont appelés à être des fils, sans conséquemment travailler à ce que tous sachent y être invités.
Pour pouvoir dire « Père »
il faut que je désire que le fils prodigue revienne et soit pardonné, que l’ainé lui-même retrouve l’élan de l’amour filial et fraternel, que quiconque est encore loin ou dans l’obscurité, trouve le chemin vers le Père ; non pas désir vague et sans lendemain mais précisément désir qui me fait devenir davantage disciple car davantage missionnaire.