separateurCreated with Sketch.

Père Vandenbeusch : Il priait le chapelet pour les malades au cœur de sa captivité

whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Marine Soreau - KTO - publié le 11/02/14
whatsappfacebooktwitter-xemailnative
Alors que l’Eglise fête Notre Dame de Lourdes et la Journée de prière pour les malades, le P. Vandenbeusch évoque l’importance de cette « prière du pauvre » pendant ses 7 semaines de captivité.

Pour qu'Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l'avenir d'Aleteia deviendra aussi la vôtre.

Je donne en 3 clics

*don déductible de l'impôt sur le revenu

Alors que l’Eglise fête Notre Dame de Lourdes et la Journée de prière pour les malades, le P. Vandenbeusch évoque l’importance de cette « prière du pauvre » pendant ses 7 semaines de captivité.

Pour qu’Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l’avenir d’Aleteia deviendra aussi la vôtre.


Je donne en 3 clics

*don déductible de l’impôt sur le revenu

 

C’est dans la « prière du pauvre », celle du chapelet, notamment pour les personnes malades, que le P. Georges Vandenbeusch affirme avoir retrouvé la force de prier quotidiennement lors de ses 7 semaines de captivité au Nigéria, du 14 novembre au 31 décembre 2013 (cf. Aleteia).
 
Un témoignage fort donné dans l’émission « Un cœur qui écoute » sur KTO, alors que l’Eglise fête, ce 11 février, Notre Dame de Lourdes et la Journée mondiale de prière pour les malades.
 
Le chapelet m’a peu à peu « ouvert la porte de l’Ecriture et de la Bible », confie ainsi le P. Vandenbeusch. « Moi qui croyais avoir la Bible dans le cœur, dans la tête, tout cela m’était retiré », affirme-t-il en évoquant sa difficulté à prier. « Petit à petit, cela m’a été redonné par cette “prière du pauvre”. J’ai inventé, j’ai un peu “customisé” le chapelet », explique-t-il.
 
Il commence par s’appuyer sur les mystères lumineux de Jean Paul II, puis décide de l’élargir à d’autres épisodes de la vie publique de Jésus, comme les guérisons. Il prie notamment pour les malades, ceux « qui sont enfermés dans leur corps et qui ne savent pas de quoi leur avenir va être fait », ceux « qui sont en attente d’un diagnostic, d’examens » et qui se demandent de quoi leur vie sera faite…
 
J’étais un peu comme eux, « enfermé », affirme-t-il, mais j’avais « cette chance de ne pas souffrir ». « Et donc je pensais à eux. Je sais que certains prient le chapelet. Cela a été vraiment une “prière du pauvre” ».
 
Une prière à Marie à qui l’on peut s’adresser avec « confiance et dévotion filiale, certains qu’elle nous assistera, qu’elle nous soutiendra et ne nous abandonnera pas », et que le pape François invite à découvrir dans son message pour la Journée mondiale du malade, à relire ici !

 

Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !

Aleteia vit grâce à vos dons

Permettez-nous de poursuivre notre mission de partage chrétien de l'information et de belles histoires en nous soutenant. 

Profitez de cette fin d'année pour bénéficier d'une déduction de 66% du montant de votre don sur l'impôt sur le revenu en 2024.

Newsletter
Vous avez aimé cet article et souhaitez en savoir plus ?

Recevez Aleteia chaque jour dans votre boite e−mail, c’est gratuit !