Jusqu’au vendredi 6 septembre 2013 dans l’église Saint Guénolé de Batz-sur-Mer (paroisse Saint Yves de la Côte Sauvage) par l’Association « Montre Nous Ton Visage ».
Pour qu’Aleteia poursuive sa mission, faites un don déductible à 66% de votre impôt sur le revenu. Ainsi l’avenir d’Aleteia deviendra aussi la vôtre.
*don déductible de l’impôt sur le revenu
Annonce et présentation de l’exposition tirées du site Diocèse de Nantes :
Exposition à entrée libre sur le Saint Suaire de Turin au regard des connaissances actuelles, du mardi 25 juin au vendredi 6 septembre 2013 dans l’église Saint Guénolé de Batz-sur-Mer (paroisse Saint Yves de la Côte Sauvage) par l’Association « Montre Nous Ton Visage »:
Le Saint-Suaire de Turin fascine toujours autant les foules et les scientifiques. Comment aurait-il pu être « fabriqué » puisque personne aujourd’hui n’arrive à le refaire ? Les chrétiens voient en l’homme du Suaire Jésus de Nazareth, crucifié à Jérusalem au Ier siècle.
Entrée libre
Cette exposition s’efforce de présenter, avec prudence et discernement, des éléments aussi objectifs que possible, pour laisser le public tirer ses propres conclusions sur cette image, inexplicable et non reproductible, qui reste « provocation à l’intelligence » (Jean-Paul II).
Le suaire n’est pas une donnée de foi. Chacun est libre de se former une opinion. L’Eglise appelle à vénérer un signe, une image, une icône qui, justement parce qu’elle ravive en nous la Passion et la mort du Christ, conserve sa valeur comme objet de piété et mérite donc le respect. La vénération catholique envers le suaire n’est pas du tout déterminée par le problème de l’authentification.
La bonne attitude face au suaire est de ne pas s’arrêter à l’image gravée sur la toile, mais de remonter par l’esprit et par le cœur vers la Personne que l’image rappelle.
Archevêque de Turin, gardien pontifical du suaire,
Entretien au journal La Croix du dimanche 12 avril 1998.
******
Note: l’Association « Montre Nous Ton Visage » (MNTV) est une association à but non lucratif, fondée en 1981, par plusieurs personnalités dont Mgr Jean-Charles Thomas, alors évêque d’Ajaccio, Antoine Legrand (l’un des tout premiers spécialistes du Saint Suaire), et Georges Galichon (ambassadeur de France près le Saint-Siège). Son but est de faire connaître le Linceul de Turin, de le proposer à la contemplation des fidèles.